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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 08:22

C'était il y a un an, sur le blog publié,

Que j'annonçais ma résolution d'une année,

Que je souhaitais par une Ch'ti accompagné,

Alors qu'elle n'a pas tardé à me révoquer.

 

La miss aux boucles dorées, sur son île exilée,

A laissé un grand vide au coeur, qui fut comblé,

Par une Marine, mutine aux yeux bridés,

Qui par sa poitrine, n'a rien à leur envier.

 

Alors en cet an, celui-là du bout des temps,

Quelles résolutions prendre, quand au firmament,

On discute de notre sort, du grand chambardement,

Annoncé par les Mayas, il y a bien longtemps.

 

Le choix est offert, alors soyons pertinents.

Faut-il tout abandonner pour être manant,

Se laisser porter par le bien être environnant,

Ou prendre le porte-voix, pour sauver mon An ?

 

La voilà, la bonne résuolution cette année.

Je demande aux Forces d'm'aider à discerner,

La place à prendre en ce Monde incensé,

Qui le 21, verrait tout s'arrêter ...

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22 décembre 2011 4 22 /12 /décembre /2011 21:21

Etrange sensation à l'idée de reprendre la plume,

Comme si, enfin, je sortais de la brume,

Que je ne connais que trop bien, chargée d'enclumes,

Cette brume m'enrhume mais je prends la plume.

 

Plombé par la masse de projets inaboutis,

Pour un temps rêvés, jamais le bon outil,

Je rêve, je trébuche, ma volonté en patit,

C'en vient à bout, petit à petit.

 

Cette temtête, issue d'un coin de tête,

s'est elle réveillée à l'idée, certes folette,

que demain, enfin, sera prête la fête,

qui verra venir le petit Christ, entre deux bêtes.

 

Volonté, ce soir, j'écris ton nom.

Fasse que son arrivée,

nous donne la clé,

de notre prénom.

 

P2B

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 15:12

Quand le hasard du vent, qui semait ses graines

Répondit au présent, je vais te trouver ta reine,

Je l'ai cru à l'instant, et bondis dans l'arène,

De cet endroit dansant, où jamais rien ne traine.

 

Les amis partis, faut être psychopathe,

pour saisir l'envie, d'encore user ses pattes.

Les patrons bien sapés, voyant l'heure avancer,

te jettèrent male aux pieds ... je t'ai rencontré.

 

Et vite vite vite vite vite,

Allez vite vite vite vite vite,

Hâte toi, Hâte toi, toi sous mon toit,

j'suis psychopathe de toi

 

Deux amoureux transis, par les longues nuits,

Deux mois éprouvés, pour te retrouver,

Deuxième nuit pour moi, pour y vivre l'émoi,

2 Bodi à body, ma main te raidit ...

 

Vite vite vite vite vite,

Allez vite vite vite vite vite,

Hâte toi, Hâte toi, toi sous mon toit,

j'suis psychopathe de toi

 

Enfin cette chanson, je l'ai composée

Si je maniais l'canson, j't'aurais dessinée,

Si j'étais un Rodin, je t'aurais sculptée,

Mais je suis bon à rien, alors je t'ai racontée

 

Un peu vite vite vite vite vite,

Allez vite vite vite vite vite,

Hâte toi, Hâte toi, toi sous mon toit,

j'suis psychopathe de toi

 

Polo 2 Bodi

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 21:56

Vous nous voyez tous ici réunis,

bravant la torpeur, où vous êtes endormis,

bravant toute peur, si vite ennemie,

Trouvé est le bonheur pour nous, insoumis.

 

La rigueur des temps laisse peu de répit...

Les peuples, indulgents, apprirent par dépit,

à plier l'échine, à mouiller l'établis,

pour gagner sa vie, l'Homme se soumit.

 

Regardez sur ces visages torturés,

Comme nous laissons cour à nos pensées,

qui tantôt apportent leur lot de gloire,

tantôt leur fardeau de désespoir.

 

regarde nous, Ami,

Tu vois ici le prix, 

d'oser pousser le cri

"A JAMAIS INSOUMIS"

 

Polo 2 Bodi

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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 00:08

L'équipe du Seigneur des Anneaux vous y a précédés,

en ces îles du bout du Monde, chez ces Neo Zelandais,

qui par delà leurs belles montagnes, sauront bien dévaler,

sur les arrières lignes, gare à vous petits Français .

 

Les All Blacks ... toute la puissance de ce nom,

n'est rien face au tumulte proposé par leur jeu de ballon.

DU pillard au trois quart, rapide sera la passe à l'ami,

qui, d'un geste rare, ira applatir derrière l'ennemi.

 

Par le HAKA, de toutes les nations redoutées,

ils vous les mettent là, tout juste remontées,

vous feront penser au glas, ressenti durant la mélée,

la pression des avants, qui viendront vous presser.

 

Ils vous attendrons, bientôt sur leurs terres,

après trois rencontres au destin ephémère.

Chers bleus, pour vaincre au delà des terres,

Comptez sur nous, et sur nous vers.

 

Polo 2 Bodi

 

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22 août 2011 1 22 /08 /août /2011 17:14

La royale cité, que l'orange recouvre,

parcourue de pélerins par qui la voie s'ouvre,

acceuille, réfugiés de ce monde en détresse,

les croyants pour ces Journées Mondiales de la Jeunesse.

 

Tant de chants, de couleurs, d'émotions ressenties,

en ce monde bigarré où l'on fuit les anti.

L'esprit du Seigneur, omniprésent jusqu'ici,

nous donne à penser au sens de notre vie.

 

Toutes ces rencontres, rendez-vous réussis,

sont provoqués par la Chance, l'Invisible, l'Esprit.

Comment l'apréhender, le paler, le ressentir ?

Faut-il suivre la voie du premier des martyres ?

 

Il y a deux millénaires, sur cette Terre,

fut engendré par Marie le plus grand des mystères.

Un homme naquit, fils du Dieu, ami de l'Esprit,

et de l'Humanité, par Amour, il s'est épris.

 

La route tracée par cet illustre pélerin,

l'a conduit sur la Croix à se faire percer le rein.

Cet acte d'Amour, par lequel il nous rachetat,

fut puni par les hommes, au mont Golgotah.

 

Mais 2000 ans plus tard, cette Joie transmise,

dans le coeur des pélerins, à Madrid est de mise.

Prions pour l'avenement d'un monde nouveau dehors,

une Terre où l'on fuira les catastrophiques veaux d'or.

 

Prions pour que cette Jeunesse, ici rassemblée,

récolte pour eux la liesse, dans ce champ de blé.

 

Polo 2 Bodi 

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 15:01

Archimède le connut bien, cet instant,

Quand dans son bain, il prenait le temps,

De laisser filer les idées au rytme haletant,

du torrent déchainé, prompt comme le vent.

 

Et soudain ...

 

"EUREKA, j'ai trouvé"

 

Ces éoliennes seront tatouées, griffées,

aux couleurs du client satisfait,

qui laissera flotter son nom au rytme du vent,

et de ces pales bradées, lumineuses en tournant.

 

De l'idée humidifiée, petit papillon,

est né pour ses rêves un nouveau sillon.

Il serait entrepreneur, c'était acquis !

 

Et l'idée plu beaucoup à vous savez qui ...

 

Polo 2 Bodi

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27 juillet 2011 3 27 /07 /juillet /2011 19:56

Père !

 

Nous voici sur ce lopin de terre,

qui jadis acceuillait des blés ephémères.

Les bois autour, l'étang juste derrière,

c'est ici même que je souhaite ma chaumière...

 

Ma terre,

mon héritage,

mon domaine

...

Une telle aubaine !

Cet ermitage.

 

D'ici même s'élèveront jusqu'au lointain,

ces hautes cimes, mêmes tourelles guetant.

les villes jughées, où souffle le vent.

Des arbres, immenses, habités ... pour demain.

 

Ce lopin de terre, un jour puissant.

Il appartient aujourd'hui à mes grands parents.

Aide moi, quand il sera temps,

à réclamer cette part du monde verdoyant.

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17 juillet 2011 7 17 /07 /juillet /2011 17:06

Hé, Bonjour, Monsioeur du Baron,

Que vous êtes joli, que vous me semblez bon !

Sans mentir, cette alliance portée en toute confiance,

m'incite à vous adresser ce soir cette petite danse.

 

Par où commencer, ce discours des jeunes marriés ?

Il faut reconnaître que je ne m'y suis jamais essayé !

Essayons donc, l'espace d'un instant,

de présenter Florent à ces beaux-parents !

 

Florent, avez-vous dit ? Je ne connais pas ce nom,

Car par chez nous, on l'appellait plutôt Baron !

Au cours de nos classes, nous l'avons rencontré,

Ce fier Alsacien, tout juste à Lyon débarqué.

 

Deux années passées à sa faire la course,

pour obtenir, de l'X, les cordons de la bourse.

Les participants restèrente cependant très fairplay,

ne ratant jamais une occasion de se pschitter.

 

Les concours passés, nous voilà intégrés,

Chacun sa Centrale, pour s'y exprimer.

J'ose croire que les Psis, tu devais regretter,

Il suffit de compter le nombre de convives invités.

 

Passons, passons ce mauvais esprit ...

Revenons plutôt sur ce qui nous a réuni.

Des éoliennes publicitaires, quelle drôle d'idée !

Seuls des lascars comme nous pouvaient y penser.

 

Trois hommes pour un couffin, et quelques années,

où enfin tu appris ton téléphone à décrocher.

Mais bien vite, tu comptais arrimer,

Pour construire ton projet avec ta tendre et aimée.

 

Flo, ce soir, nous te confions notre Baron,

Peut-être à cause de nous sera-t-il un peu rond.

Chers jeunes époux, la vie s'offre à vous,

Une vie nouvelle ...

 

... et une nuit nouvelle, j'avoue !

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13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 15:32

"J'ai pas envie, j'veux pas faire ça !"

Une échéance, et l'on ressent au plus profond cela.

L'envie de tout plaquer, d'abandonner ici bas,

ce qui faisait notre fierté, notre combat.

 

L'Homme est ainsi fait, et lorsque la réalite,

par amoncellement en vient à le tirailler,

au lieu point par point de tout traiter,

il pense au chemin où il pourrait s'abandonner.

 

Il se prend à rêver d'herbe plus verte ailleurs,

et l'on ne parle pas ici de la triste fleur.

Il croit ainsi abandonner à jamais sa peur,

en arrêtant pour un temps de compter ses heures.

 

"Qu'est-ce qui te retient, fous le camp !"

lui dit en dedans sa voie d'enfant.

Mais il faut toujours laisser sa cahnce au temps,

qui décide de l'opportunité, du vent venant.

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