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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 10:55

Et bien voilà, il fallait bien que ça arrive, après avoir fêté et fêté à nouveau ce départ, me voilà rentré sur Lyon ... sans oublier de vous livrer mon dernier texte d'adieu.

 

Chers amis, c'est officiel, j'me casse !

Mon dieu ç'que ça m'tracasse !

Depuis la braderie, je me décarcasse,

mais je reste rempli par l'angoisse.

 

Car bientôt, chers amis Lillois,

je voguerai sur d'autres toits.

Mais je suis sur qu'à la fin du mois,

je vais braire pour la deuxième fois.

 

Certes dans cette région, on innove,

surtout sur l'accent, un peu grôve.

Et même si au loin je me sauve,

je ne pars pas en courant, tel un fauve.

 

Car vous tous ici, à l'unisson, 

vous allez me manquer, une fois sur Lyon.

mais reprenez donc les rimes de cette chanson,

et dites-moi enfin : "Casse-toi pauvre con !"

 

Polo 2 Bodi

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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 09:35

Pour une dernière soirée slam sur Lille, voici le petit dernier texte :

 

Mad'moiselle la Chance

 

Chacun d'entre nous, on la recherche partout,

et pour elle, on ne dépensera pas un sou.

Celle qui parfois est absente, mais parfois nous met en transe,

elle tourne autour de nous, Mad'moiselle la Chance.

 

Tu peux lui fermer la porte, elle choisira la fenêtre,

car jamais elle n'abandonnera aucun être.

En effet, quoi qu'on en pense,

elle ne nous oublie pas, Mad'moiselle la Chance.

 

Alors c'est sur, elle se cache parfois,

elle reste tapie à l'orée des bois.

Elle attend souvent son heure, observe notre défense,

et soudain nous tombe dessus, Mad'moiselle la Chance.

 

Et quand elle est là, quelle explosion !

On se laisserait submergé par tant d'émotions.

Soyez surs qu'alors partout en France,

vous aurez dans vos bagages Mad'moiselle la Chance.

 

Polo 2 Bodi

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 19:27

Encore un bar Lillois que je vais prochainement abandonner, mais où j'aurais passé plus d'une soirée animée.

 

Le bar parallèle

 

L'hiver arrive, et déjà on se les pèle,

surtout quand la nuit approche.

Mais pour se réchauffer et se vider les poches,

rien de tel qu'une soirée au bar parallèle.

 

Rentrez dans le vieux Lille par cette ruelle,

et arrêtez-vous en face de chez Paul.

Stoppez vos amis en les prenant par l'épaule,

et conseillez leur le bar parallèle.

 

Certes ici, point de Jacques Brel,

mais des toiles sur les murs acidulés.

Une Karmeliet sans peine, vous pourrez déguster,

une des nombreuses spécialités du bar parallèle.

 

Mais il faut repartir, quitter ces silhouettes frêles,

sans se retourner sur ces années passées ici.

Et je suis sur qu'en revenant dans ce pays,

je retrouverai avec plaisir le patron du bar parallèle.

 

Polo 2 Bodi

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 18:49

Allez, et si on écrivait un bouquin ?

 

non ... une trilogie serait mieux.

 

A force de prendre le coup de main de vous déclamer mes poèmes par les muses venues, pourquoi ne pousserais-je pas le vice jusqu'à pondre un recueil de poèmes ... mais surtout un roman...

 

Le jeune Henri de Lamotte, mène une vie paisible à la SNCF, embauché comme jeune ingénieur en logistique.

Mais voilà qu'il fait une série de rêves, 12 exactement. Pendant un an, tous les 3 du mois, sa nuit est peuplé par un monde qu'il ne connait pas, un torrent démentiel dont il peine à saisir quelques bribes, quelques concepts novateurs... 12 projets, qu'il garde précieusement noté dans son petit carnet, et sur lesquels il ne cesse de laisser trainer sa fertile imagination.

Il donne à chacun un nom de code, et les bichonne jusqu'à qu'ils soient prêts à être transmis à une nounou.

Ce temps-là arrivé, il quitte le monde de la voie férrée pour partir en toute liberté vers ses projets, et monte une équipe de 12 débrouillards, un par projet.

L'histoire raconte comment ces 13 gaillards vont crânement transformer ces simples idées en entreprises rentables.

 

Voilà la trame de ce roman, le pouvoir des rêves, qui sortira si l'un de vous, fidèles blog-lecteurs, connait un éditeur et lui transmet cette bouteille jetée à la mer.

 

Inch'allah,

 

Polo 2 Bodi

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 08:49

Petit souvenir des vacances Corses,

 

Ô Ajaccio,

 

Te voici nichée à flanc de coteaux,

prête à accueillir toute sorte de bateaux.

Sur tes côtes, souffle un vent de renouveau,

qui t'arrive du large, Ô Ajaccio.

 

On distingue au loin plus d'un paquebot,

qui viennent mouiller au sein de tes eaux.

Mais il reste au port les pêcheurs de maquereaux,

pour nourrir tes enfants, Ô Ajaccio.

 

Ici se ressent l'inspiration d'accomplir nos idéaux,

celle de porter nos rêves de plus en plus haut.

Peut-être pour cela faudra-t-il en passer par les mafiosos,

qui regent chez toi, Ô Ajaccio.

 

En dix jours, il s'agit d'affuter son style,

pour pondre sur les rives de Propriano,

des rimes pour certaines venues de là-haut,

que l'on entendra jusque chez toi, Ô Ajaccio.

 

Polo 2 Bodi

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 09:10

Si nombreuses furent-elles, si uniques soient-elles.

 

Que serait le poète sans ses muses ?

Aurait-il ainsi le verbe et la rime faciles,

se laisserait-il porter d'idylle en idylle ?

Non, son imagination serait recluse !

 

Que serait le chanteur sans ses muses ?

Saurait-il encore vous composer,

des airs aptes à vous faire vibrer ?

Non, sa musqiue sonnerait comme une intruse.

 

Que serait la rivière sans ses muses ?

Verrait-on ainsi le courant tourbilloner,

les poissons étinceller et virevolter ?

Non, ils se heurteraient à tant d'écluses !

 

Que serait enfin l'homme sans sa muse ?

Nagerait-il dans un océan de bonheur,

de savoir que grâce à lui pousse une si jolie fleur ?

Non, il se noierait plutôt dans son verre de Suze !

 

Polo2Bodi

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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 19:12

Partout en France l'été s'achève, ils rentrent tous vers Paris,

tel la fin d'un joli rêve, ils retrouvent leur propre lit.

Malgrès la fin de cette trêve, au Nord on sourit,

Car on sait qu'ici reste à venir la Grande Braderie.

 

Septembre est là, Lille revient à la vie,

ils sont tous de retour, partageant une même envie,

celle de partager ensemble une Leffe Rubis,

et de monter un plan pour la Grande Braderie.

 

Ils savent que partout, de Vauban à Marbrerie,

du vieux Lille à Wazemmes souffle un vent de folie.

Sur tous les visages, il n'y a plus qu'imaginations et rêveries

de savoir comment sera cette année la Grande Braderie.

 

Enfin le grand jour, où devant chaque brasserie,

camionnettes et chapiteaux sont décorés du dernier cri.

Tous sont pourtant prêts à pousser leur premier cri,

pour attirer à lui le badeau de la Grande Braderie.

 

Ce badeau, son sac bien vide pris avec lui,

écoute ces cris des marchands, prêts à devenir son ami,

le temps d'un objet, d'une discussion sur le prix,

le sac finit par vite se remplir à la Grande Braderie.

 

Polo 2 Bodi

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 17:25

Quelle angoisse !

 

Le jeune premier, qui pensait être fin prêt,

Ne savait plus contre qui lutter.

Mais ce soir, seul devant sa glace,

Il s’apprête à lutter contre l’angoisse.

 

Les gouttes perlent, lui tombent du nez,

Il ne sait plus où il pourrait se cacher.

Car quand il regardait la Star Ac,

Il ne connaissait pas encore le trac.

 

Il faut dans ces moments là un ami,

Cet être cher grâce à qui à nouveau tout sourit.

Il saura nous aider à trouver la confiance perdue,

Celle que l’on pensait à jamais disparue.

 

Le grand soir arrive enfin, il est fin prêt,

A monter sur les planches, pour tout donner.

Espérons pour lui que sa peur d’enfant,

Sera noyé sous vos applaudissements.

 

Polo 2 Bodi

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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 13:07

Allez, un petit dernier avant le décollage pour Corsica demain.

 

Je suis né dans un foyer inondé

par l'Amour, j'y ai passé de longues années.

Et ce que je vais tenter de conter,

c'est comment jusqu'ici j'ai pu arriver.

 

Dans cet essai, je varierai les tons,

que jamais on ne réentende le même son,

la fin seulement sera portée au diapason,

c'est un essai à rimes, Action !

 

Ce que j'entreprend, par ces vers mal aboutis,

c'est le début d'un rêve, nommé librebrie.

Pour chaque manuscrit qu'un être aura écrit,

il s'agira de le publier, que les pages en soient salies.

 

Je suis caché à Lille, caché de Râ,

qui bientôt va m'acceuillir dans ses bras.

En Corse je débarque et patatra ! 

sur l'île partout WisP on entendra.

 

Car grâce à l'ami Ludo Lahousse,

arrive le moment attendu de tous.

Il est temps d'enlever la jeune housse,

qui recouvre l'éolienne, et tous à vos trousses.

 

Car là-bas, au delà de nos idéaux,

il faudra vendre, gonfler profits vers le haut.

En Corse débarque bientôt un bavard héraut,

qui saura vendre du WisP à tire la rigaud.

 

Certes quand j'écris, ma tête n'y est pas,

surtout si comme aujourd'hui, je saute le repas.

Bah, cela ne me mènera pas au trépas.

Et au pire qu'est-ce qu'il se passera ?

 

Tiens, un rayon de soleil, voilà Râ,

qui de ses merveilles, nous éblouira,

qui de son Amour nous inondera,

qui au paradis nous acceuillera.

 

Car je ne vous l'avais pas dit,

mais je vous ai eu, pardi !

relisez la fin de ce que j'ai dit,

et ON IRA TOUS AU PARADIS.

 

Polo2bodi 

 

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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 18:18

Enfin, le départ ... vers le Sud, vers l'aura.

Demain à Paris, lundi ...

 

Corsica, nous voilà 

 

Nichée au coeur d'un golf de la Méditerranée,

elle résiste depuis longtemps à tout ce qui vient de là-bas,

sans savoir qu'enfin cette année, une bade d'agités,

viennent poser bouteilles, valises et carnet, chez Corsica.

 

Nichés sur les falaises de Propriano,

ils sont invités par Romain chez la Mama !

A passer deux semaines les pieds dans l'eau,

cette eau turquoise, si propre à Corsica.

 

Ils s'apprêtent à passer dix jours dans l'oubli,

de leurs fêtes, pas un bruit on aura.

Soyez pourtant sûrs que les carnets auront servis,

Eloge sera rendu à la belle Corsica. 

 

 Cette écorce paradisiaque, juché sur l'arbre Monde agité,

saura pour sur nous aider à retrouver notre aura.

Elle n'est pas bien loin, il suffit de savoir s'éloigner,

sur les sentiers isolés qui irriguent Corsica.

 

Une fois cette aura retrouvé, tout ce pouvoir zen, 

il s'agira de concocter un recueil bien de là-bas,

pour vous préparer à la rentrée la saison prochaine,

venir écouter les poètes inspirés par Corsica.

 

Ces deux semaines passées sous ce si beau soleil,

vont s'écouler comme un rêve doré, et puis Basta !

Mardi 31 approche, le jour du réveil,

les poètes remontent sur la scène, fini Corsica !

 

Polo2Bodi

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